SOLUTIONS JARDIN :

PAILLER ET ENCORE PAILLER !

Choisir le paillage de miscanthus,

c’est opter pour un jardin facile et vivant.

La culture du miscanthus ne nécessite aucun intrant (ni engrais, ni pesticides).

Contrairement à d’autres paillis, il ne contient aucun résidu chimique.

 

Il est 100 % naturel

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Le paillage de miscanthus vous garantit une reprise et croissance optimale des plants.

  • Après la plantation, l’évapotranspiration du sol est limitée, garantissant une croissance homogène des plants.
  • Le risque de perdre des plants est minime ; les racines sont protégées contre le gel et les fortes chaleurs.
  • Son broyat fin repousse les limaces et autres escargots friands de jeunes plants.
  • Le conditionnement en sac papier biodégradable permet de lutter très efficacement contre les adventices ! Pour cela, laissez le sac au sol et étalez le miscanthus dessus.
  • Ph NEUTRE et absence de tanins garantissent l’équilibre et l’activité du sol.
  • Engrais organique naturel riche en potassium, l’utilisation de produits phytosanitaire devient inutile conservant ainsi un sol sain et vivant.
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Première satisfaction : gagner du temps et de l’argent !

Sarclage, binage, arrosage seront réduits. L’excellente reprise des plants et l’absence d’utilisation de produits phytosanitaires vous feront économiser de l’argent !

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Deuxième satisfaction : Esthétiquement, c’est beau !

Le paillage de miscanthus met en valeur vos massifs et parterres.
Le paillis est clair et le reste plusieurs mois. Il accroit le contraste entre les espaces.

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Troisième satisfaction : votre jardin est vivant !

En respectant le sol et ses jardiniers de l’ombre, vous encouragerez la biodiversité dans votre jardin ! Oiseaux, papillons, coccinelle, hérissons vont se réapproprier l’espace pour votre plus grand bonheur !

Quand et comment le mettre en place ?

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Pour les plantes pérennes (arbres, arbustes, rosiers, vivaces).

Le paillage s’effectue idéalement en automne ou en sortie d’hiver.
De préférence un jour sans vent !

Le sol doit impérativement être propre. Pour économiser du paillage et optimiser la lutte contre les adventices, pensez à utiliser le sac de conditionnement en papier.

Videz le premier sac dans une brouette ou sur une toile. Placez le sac vide et ouvert sur le sol. S’il y a déjà des plantations, déchirez le papier pour couvrir le sol. Vous pouvez aussi utiliser du carton de récupération débarrassé des étiquettes et des scotchs. Si vous le souhaitez, arrosez légèrement le sac et les cartons afin qu’ils épousent la surface du sol. Déposez une couche de paillage de miscanthus d’environ 4 à 5 cm de manière uniforme. Et ADMIREZ !

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Pour les cultures annuelles ou courtes.

Le paillis se pose juste après la plantation.
Une couche de 2 à 3cm environ est suffisante pour que la dégradation du paillis soit bien entamée à la fin de la culture.

Pour les semis, attendre qu’ils soient levés avant de pailler.
Pour les annuelles, le collet des plantes doit être visible.

Si le sol est sec, arrosez-le avant de le couvrir avec le paillis de miscanthus. Une fois en place, arrosez légèrement pour stabiliser le paillis. L’eau s’infiltrera doucement dans le sol sans ruisseler et ainsi éviter le phénomène de battance (formation d’une croute imperméable en surface).

Qu’est-ce qu’un paillis ?

Dans la nature, la terre nue est un état anormal.

Mettre en place un paillis dans votre jardin est un moyen simple et efficace pour tendre vers un cycle de vie équilibré du sol et de la végétation.

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Ils peuvent être d’origine :

  • Organique : feuilles, tontes de pelouse, pailles, écorces, compost…
  • Minérale : galets, ardoises pilées, débris de poterie, billes d’argile…
  • Industrielle : films plastiques, toiles tissées.
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Chaque paillis répond à différentes attentes.

  • Les paillis industriels sont généralement mis en place pour couvrir des espaces difficiles d’accès ou en pente comme les talus ou les bords de bassins. Peu dégradable, ils sont inesthétiques et couteux.

  • Les paillis minéraux ont une durée de vie quasi infinie. Ils conviennent particulièrement aux plantes appréciant la chaleur comme les plantes méditerranéennes. Ils entrent généralement dans une recherche d’esthétisme et d’harmonie avec les végétaux. Toutefois, une surchauffe des paillis minéraux à la belle saison endommage sérieusement les racines des plantes. A moins qu’il ne s’agisse de matériaux de récupération, ils sont souvent réservés à de petits espaces car leur coût est élevé.

  • Les paillis organiques, grâce à leur origine et de leur utilisation sont les paillis les plus en symbiose avec les cycles de la nature.

Pourquoi utiliser un paillis organique ?

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Le paillis organique régule la température et l’évaporation du sol  afin de maintenir un équilibre de chaleur et d’humidité dans le sol. L’été, cela limite les besoins en eau. L’hiver, les plants sont protégés du gel.

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Il améliore la structure du sol et le garde meuble. C’est le travail des vers de terre ! Il n’est plus nécessaire de biner !

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Le paillis organique protège le sol de l’érosion  par la pluie et le vent.

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Le paillis organique enrichit le sol  en nutriments grâce à la décomposition du broyat.

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Le paillis empêche la germination et le développement des adventices  (mauvaises
herbes). Le temps de sarclage est réduit.

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Il abrite une faune utile et favorise l’activité biologique du sol (micro-organismes, vers de terre).

Avant de planter ou repiquer, si le paillis de la précédente culture reste épais, ne l’enfouissez pas dans le sol.
L’enlever et le réserver pour le remettre en place après l’installation de la nouvelle culture ou le composter.

En l’enfouissant, les nouvelles cultures risquent la « faim d’azote »* !